and pick the worms off me like sticky pearls ✩ tw mort, drogue, alcoolisme |
Louisa Amaury Membre | |
Emploi : sapeur-pompier Orientation & Situation : lesbienne + "célibataire" Astres : 1664 Avatar : haruka tenou (sailor uranus) ✩ sailor moon | Dim 27 Fév - 20:06 flesh, bone, there is nothing here — louisa amaury ft. haruka tenou (sailor uranus) ✩ sailor moon aka " lou " Elle habite un petit studio, type chambre de bonne. Elle ne voulait pas plus que ça. ps : les citations (titre + dans la fiche) sont des vers de sylvia plath (C) PATR.ONUS |
Louisa Amaury Membre | |
Emploi : sapeur-pompier Orientation & Situation : lesbienne + "célibataire" Astres : 1664 Avatar : haruka tenou (sailor uranus) ✩ sailor moon | Dim 27 Fév - 20:06 and i eat men like air Lou est en pleine gestation. Qu’elle ait vraiment fini (commencé ?) de faire son deuil n’est même plus tout à fait la question. Certes, c’est douloureux, certes papa lui manque, tout cela certes… mais Lou est devenue une femme qui a connu autre chose. Son champ des possibles s’est complexifié. Tout a pris nuances et gradations. Elle est moins contrastée qu’avant, et pourtant plus sûre d’elle-même. Quelqu’un a dit, une fois, que quand on atteignait à peu près les 25 ans, on était plus calme. On ne gagne pas forcément en maturité. On est peut-être pas encore très sage. Mais on a maturé dans son jus pendant toutes ces années, c’est bien pour que quelques racines deviennent solides. Lou est à moitié honnête, c’est vrai. Elle dira toujours ce qu’elle pense, mais jamais tout ce qu’elle pense. Très souvent elle taira, détournera les yeux, fera comme si elle n’avait rien entendu. Petit rire gêné. Son don n’aide pas, évidemment. Il la pousse à ne pas entrer dans les détails. Ça révélerait trop de choses désagréables - sur elle. Comme le fait qu’elle ne réponde que très lentement à ses messages, qu’elle ne dit rien parce qu’en fait elle n’en pense pas plus. Qu’elle ne parait pas juste superficielle : elle l’est tout simplement. Elle ne va jamais dans le fond des choses, elle joue sur l’ambiguïté - son genre, ses relations, son père - pour faire illusion. Elle est de mauvaise foi, aussi, et elle pourrait être tentée d’utiliser sa mort pour attirer davantage - encore - de la sympathie. Pour faire pitié. Pour être aimée - mais pas trop non plus. Qu’on aime l’image qu’elle donne ; pas ce qu’elle est vraiment. Son assurance n’est que factice, elle n’aime pas du tout la personne qu’elle est. Mais sa vie faite d’excès, l’a empêché de se confronter à elle-même tant de fois. Comme n’importe qui de vingt, trente, cinquante ans, elle ne sait pas qui elle est. Parfois, elle aimerait que quelqu’un pose doucement sa main sur ses cheveux, pour lui dire que tout va bien, qu’elle n’a pas à être parfaite pour être aimée. Que tout le monde fait des erreurs, que tout le monde est un peu sale. Mais Lou est en gestation. Les choses se font en souterrain et très lentement. Un jour, elle aura un déclic - et le changement se fera ainsi : une multitude de déclics très espacés dans le temps qui, à terme, feront advenir une métamorphose. Elle l’avait aidé à faire sa toilette funèbre en attendant que les messieurs arrivent. Ils avaient appelé : ils auront du retard, la voiture, Neptune, vous comprenez. Elle s’était dit que c’était pourtant bien là qu’ils devaient avoir le plus de boulot. Elle n’a pas répondu et a raccroché. Maman avait fini par descendre, pleurer un bon coup, boire un peu. Elle l’avait laissé finir seule : Lou avait alors pour la première fois vu le sexe de son père. Il était minuscule et ridicule. Un peu écoeurant. Elle s’était dit qu’elle ne voudrait plus jamais en voir d’autres de sa vie. Papa commençait à sentir malgré le savon et la chemise propre. C’est que papa attendait depuis deux jours. Maman et elle aussi, d’ailleurs. Elles avaient dû fermer le bar, au rez-de-chaussée. Papa, qui était dans leur chambre, à l’étage, sentait jusqu’en bas. C’est pas bon pour la clientèle, tu comprends Louisa. Comment on va faire maintenant qu’il est plus là ? Je vais faire quoi moi, toute seule ? Avec toi, en plus ? Louisa n’avait pas répondu cette fois-ci non plus. Elle avait vaguement haussé les épaules, adressé un geste flou par là-bas. Maman avait suivi du regard, jeté un oeil par la porte de là où elle se tenait : ça paraissait lui convenir, elle avait semblé soulagée. Lou, quant à elle, n’avait en vérité pas vraiment la réponse. Sa mère si, apparemment, mais elle ne voulait pas la lui donner. Il lui faudra se débrouiller. Maintenant, elles attendaient toutes les deux, assises à la table de la cuisine. Elle était recouverte de cette nappe en plastique motif fleurs de grand-mère. Elle n’avait pas dû être nettoyée depuis des années. On ne voyait plus les fleurs, que des ronds de café qui s’incrustaient à cause du cul des tasses. Ça formait des rosasses. D’ailleurs, maman lui faisait boire son premier café. Il était amer, comme elle s’y était attendu. Mais il avait comme un arrière-goût : il avait un fumet différent de celui qu’elle sentait le matin dans la machine. Lou avait vaguement l’impression que son mug avait le goût de l’haleine de sa mère. Elle ne s’était pas posé davantage de questions, elle avait bu quand même. Ca l’avait étrangement calmé, et alors elle avait commencé à regarder sa mère. Et elle, comment elle va faire maintenant qu’il n’est plus là ? C’était le seul à avoir des yeux nets à la maison. Ceux de sa mère étaient toujours flous, ou ailleurs, ou hagards, ou bizarres. Ou en colère. Toutes les deux, elles s’énerveraient pour de bon, désormais. Son père ne pourra plus tout désamorcer avec une seule percée de regard - il ne désamorçait pas, il étouffait. Il ne pourra plus l’empêcher, non plus, d’aller avec ce type qui venait leur acheter des clopes et qui sentait une autre odeur que le tabac. Il avait de l’acné comme elle, mais de jolis yeux bleus, il devait avoir son âge. Il avait l’air cool, libre, et très tranquille. C’était trois éléments qui lui plaisaient bien. Elle finirait par l’accompagner. Elle pensait à lui alors que les messieurs arrivaient enfin, montaient à l’étage. Descendre le cadavre serait compliqué : l’escalier était étroit, et faisait un angle, et le corps était déjà très dur, et froid. Mais surtout, qu’est-ce qu’il sentait. Sauf que c’était leur problème, maintenant. « Tu vas où ? » Sa mère avait posé la question davantage par convenance - les messieurs entendaient - que par réelle inquiétude, alors que Lou se levait. Ça la soulageait, en fait, de la voir partir. « Chais pas. Rentre tard. » Ça aussi, ça l’arrangeait. « On va où ce soir ? - Uranus. » Ca lui inspirait pas grand-chose. Rien de bon, rien de mauvais, allons-y. Il y aura des jeunes, du bruit, de la musique, des shots, des bières, des trottoirs, des marches d’escalier, des matelas sans draps, des posters d’artistes tristes, des meufs bourrées, des mecs aux cheveux gras. Des pilules, peut-être, même. Tout au plus. Ça ne serait pas très dangereux. Probablement pas très intéressant. Elle partirait tôt si elle se fait chier. Elle fera peut-être du charme, pour tromper l’ennui. Les jolies filles, celles qui portent des jupes courtes mais de belles boucles aux cheveux, essaieront de parler de leurs études. Et tu comprends, d’un point de vue épistémologique, cet auteur au nom absurde est beaucoup plus intéressant que tel autre auteur. Il essaie vraiment de réunir les deux approches. Intellectuellement, aussi, ils ne sont pas issus de la même tradition, donc forcément le premier peut se permettre ce que le second ne peut pas. Ou plutôt, dans le contexte, c’est plus cohérent. Les deux ont utilisé les statistiques pour démontrer que… mais les conclusions sont très différentes… tu vois, dans ce livre, il essaie vraiment de… Tout ça parce qu’elles penseront qu’il fait partie des leurs, parce qu’elles voudront l’impressionner, mais ça l’ennuierait très vite. Elle ne comprendrait rien, de toute façon. Elle ne sait pas grand-chose. Juste ce qu’il ne faut pas mélanger et avec quoi. Les noms chimiques, aussi, ça la connait. Mais sinon, elle sait rien du tout. Esprit vide, trou noir. Et elle se sentira mal à l’aise, diminuée, nulle à chier. P’tit sourire, p’tit clin d’oeil, bisou chérie, ça prend la bière par le goulot et ça repart. Elle sera déjà au bout de la pièce. Elle a rien contre les filles - contre les gens - intelligents, elle les admire plutôt. Mais ça la met aussi mal à l’aise parce qu’elle se rend à chaque fois compte de combien elle est conne. Elle n’a jamais vraiment voulu faire d’études, sa mère n’aurait pas voulu de toute façon, et papa, lui… « On est arrivé. » Elle ne répondit pas tout de suite. Le nuage noir, au-dessus de sa tête, s’évapora d’un coup, confronté au principe de réalité. Elle avait l’impression de sortir d’une sieste. « Mais on vient faire quoi, du coup ? » Lui aussi, il attendit un peu avant de répondre. Il avait l’air d’hésiter. A le voir comme ça, en train de jouer un peu des épaules de maladresse, elle analysa enfin les images que sa vue périphérique avait enregistré pendant le trajet - à pied. Il avait cherché son regard tout du long. Elle n’avait jamais répondu. Elle ne répondrait pas plus ce soir. « Chais pas. Une soirée, s’amuser, boire un peu… fumer… » Il parlait de plus en plus bas. Il prit un peu contenance toutefois, pour conclure : « Et puis vendre, aussi, si on peut. » Ca lui allait bien comme ça. Se serait-elle douté que cette soirée serait un rendez-vous manqué, y aurait-elle mis quand même les pieds ? Des années plus tard - huit - elle se trouvera à nouveau dans un canapé, avec Myrtille qui lui dira de prendre garde, de ne pas se faire d’illusions, que ça manquera pas de lui tomber sur le cou, de la transpercer de part en part, tranché net, cette épée de Damoclès qui pend et puis… elle a peut-être un peu bu. Elle est peut-être un peu pompette. Myrtille et ses cheveux pitoyables ne sont pas dans un appartement saturnois, à côté d’elle. C’est au contraire une jeune personne très jolie, un peu floue, un peu lunaire, très curieuse. Plus intéressante. L’autre type qui l’avait accompagnée jusqu’à la soirée avait réussi à conclure, elle l’entendait baiser dans la chambre à côté. Elle le sait, parce qu’il avait tendance à gratter les murs en même temps. Y’avait qu’elle qui savait. Pas qu’elle ait déjà couché avec lui - jamais ! Mais elle savait ça sur lui. C’est peut-être aussi pour ça qu’il avait été gêné, tantôt. Heureusement, la musique était suffisamment poussée fort pour qu’on entende pas ses bruits de rat sans une oreille exercée. Quoiqu’il en soit, il l’avait oubliée, et c’était très bien comme ça. Ou alors, il ne l’avait pas oublié, et il baisait par dépit, pour la rendre jalouse. Ça ne marcherait pas. Jules était plus charmant. Charmante ? Elle n’était pas sûre de savoir, pas sûre de vouloir, ne voulait pas poser la question. Ça lui allait très bien comme ça, le flou. L’entre-deux paraissait un espace confortable pour ces deux personnes. Pour ce soir. Demain, elles ne se reverraient plus. Ce soir, c’était un instant volé au court du temps, qui s’interrompt avec les heures de la nuit, et puis, demain, tout reprendra comme à la normale. Comme si elle n’avait pas existé. Quelle douceur, ça mettait des lumières dans les yeux de Lou. Elle eut un sourire franc qu’elle n’avait pas offert à quiconque depuis une semaine - la dernière personne étant son ex, qui venait de la quitter par message, et qu’elle aimait toujours. Leur histoire avait duré deux semaines. « C’est quoi ton nom, déjà ? - Jules. » Et elle répéta, grave et sincère : « Jules. » « Monseigneur, vous êtes trop bon. - Oh ta gueule », lui avait-elle répondu, en lui cédant le fauteuil. Le petit miroir était sur la table basse. Myrtille, qui prenait donc sa place, commençait à y répandre la poudre. Elle sortit sa carte de crédit pour aligner - sa carte ne servait plus, elle avait été bloquée à cause de son découvert. - Je fais deux lignes ? - Qu’une seule. Myrtille avait levé les yeux avec surprise. Les poches en-dessous étaient plus gonflées encore qu’il y a à peine deux heures. Elle s’en rendrait compte sur le miroir, pendant qu’elle snifferait, puis elle irait dans la salle de bain de Lou pour mettre un peu de correcteur. Myrtille restait très coquette, même avec le pire dans le sang. Lou jeta un oeil sur le miroir. C’était encore gentil, ça. Elle récupéra le billet que Myrtille avait enroulé très fin pour renifler. Elle avait des petites narines. Elle mit le billet dans sa poche pendant qu’elle ne regardait pas. Elle ne serait bientôt plus capable de s’en rendre compte de toute façon. - Mais je veux bien un Xanax, si t’as. - Elle en dit quoi, l’autre ? Myrtille rétorquait de la salle de bain. Lou ne répondit pas. La jeune fille aux cheveux rares vint la rejoindre, s’installa à côté d’elle sur le canapé, posa sa tête sur son épaule. Ses yeux avaient changés. « Tu joues avec le feu, tu sais. » Lou faillit ricaner, essaya de s’en empêcher, et finalement elle fit un bruit de nez peu élégant. « Je parlais pas de Jules, pour le coup. » Lou ne répondit pas cette fois non plus. Il y eut un silence pesant, où toutes les deux comprirent. « Enfin, si. Y’a Jules. Aussi. - Mais tu parlais pas de ça. - Non. Et je parle pas non plus de ton nouveau boulot. » Myrtille souleva mollement son bras trop lourd pour désigner l’ensemble de l’appartement. Elle avait déménagé il y a un mois ; elle était devenue pompier, il y a deux. Elle n’aimait pas Saturne. Elle n’aurait pas dû accepter. Mais elle ne voulait pas y penser non plus. - Finalement, ça te va bien cet endroit. C’est à croire qu’elle le faisait exprès. Myrtille avait perdu la moitié de ses cheveux, et ils sortaient de son crâne comme des queues de rat. Ça lui chatouillait la joue, mais Lou n’avait pas du tout envie de rire. - On va pas te laisser tu sais. Lou en eut marre. - Où tu veux en venir au juste ? Son ton brusque ne provoqua pas même un sursaut chez Myrtille. Mais au moins, elle répondit. « Tu fais semblant tout le temps, tu te reposes sur l’image que tu donnes au début, et après tu fais tout pour y coller. Après tu pleurniches parce que tu peux laisser personne entrer dans ta vie, que c’est trop dur, que c’est trop anxiogène, mais j’ai envie de te dire : c’est ta merde, moi je m’en fous. C’est toi qu’as décidé de nous rejoindre. T’as cru quoi ? Qu’avec ton implication et tout ce que tu sais, on allait te laisser partir comme ça sans rien dire ? J’ai trouvé du boulot, c’est pour ma pote, tu comprends ? Bah non. Ou plutôt : on veut pas comprendre, on s’en fout. Et me parle pas de ton père : c’est bidon comme excuse. Si c’est à cause de sa mort que tu nous as rejoint, c’est bidon. T’as cru que toutes les pauvres filles qui perdaient leur père rejoignaient des gang ? C’est bidon. Mais c’est ton problème, parce que finalement c’est ce que t’as fait : tu nous a rejoint. Tout le monde perd son père, tout le monde perd sa mère, mais y’a que toi pour déconner autant. Te crois pas particulière. On dégage pas de chez nous comme on quittait ton bar. Ca t’arrange pas ? Ca te donne envie de chialer ? T’as pas envie que les seules personnes qui te connaissent vraiment t’aient vue dans des situations aussi pitoyables, hein ? Bah quoi ? Tu vas pleurer ? Bah vas-y, chiale ! Mais chiale, putain ! Y’a que chez nous que t’as été obligée d’être honnête, et je suis désolée ma pauvre, mais ça pue. Tu pue. T’es pas belle du tout. » Myrtille eut une seule hésitation. « Ou beau. Je m’en carre. T’es vraiment dégueulasse. Elle le sait, ça, ta petite Jules ? » Lou n’eut même pas la force de la défendre. Lou sentait venir le dénouement final et elle ne voulait pas l’entendre. « Tu brilles juste assez fort pour que ça se voit pas. » Ending : « Tu vas finir par foirer de toute façon. Je sais pas comment, mais ça va arriver : tu vas perdre ton boulot et tu vas retourner à Neptune. Après, ce qui se passera, ça dépendra plus que de toi. Nous, pendant ce temps, on attend que tu comprennes. Ça prendra le temps qu’il faudra. On est patients. » Myrtille se leva pesamment. Elle jeta un dernier coup d’oeil à l’appartement. Pour qui elle se prenait, la conne de blonde ? Avec ses cheveux épais et nombreux ? Pas meilleure que quiconque. Va, continue à faire semblant, ça va juste te gifler plus violemment encore sur le retour. Myrtille déposa un comprimé sur la table basse, cracha par terre, et ouvrit la porte pour partir sans la refermer. (C) PATR.ONUS |
Mercy Jackson Membre | |
Emploi : présentatrice d'émission télévisée Orientation & Situation : pansexuelle Astres : 1722 Avatar : hatsune miku + vocaloid | Dim 27 Fév - 20:14 mais allo ??? bienvenue ??? au secours omg le couple sailor moon ma vie un peu bon courage pour ta fiche !!! |
Louisa Amaury Membre | |
Emploi : sapeur-pompier Orientation & Situation : lesbienne + "célibataire" Astres : 1664 Avatar : haruka tenou (sailor uranus) ✩ sailor moon | Dim 27 Fév - 20:22 huhu merci !! |
Juliet Evans Modo | |
Emploi : étudiante en droit Orientation & Situation : homosexuelle + célibataire (mais c'est compliqué) Astres : 1714 Avatar : Michiru Kaiou — Sailor Moon | Dim 27 Fév - 21:47 AAAAHHHHHHH MA CHÈRE LOU je suis trop content.e de voir qu'elle a été prise aussi vite snif j'ai hyper hâte de voir la suite de ta fiche et comment tu vas écrire son caractère mais je suis déjà fan du don et de ton écriture, courage pour la finir!! |
Eros Ackerman Membre | |
Emploi : Escorte boy & Tatoueur Orientation & Situation : Homosexuel & célibataire Astres : 1836 Avatar : Eren Jeager - SNK (avatar by Lux) Gif : | Dim 27 Fév - 21:54 bienvenue!! trèes bon choix de prédef et surtout super bon choix d'avatar, Sailor Uranus est super classe.. les Lion en force!!! contente d'avoir une nouvelle camarade de groupe |
Jasmin Lefebvre Membre | |
Emploi : auteur de livre pour enfant Orientation & Situation : bisexuel + single (ready to mingle) Astres : 1707 Avatar : daze + nice to meet you | Dim 27 Fév - 23:38 bienvenue officiellement sur le forum hihi je passe avant que lux ne vienne valider ta fiche èé j'adore comment tu écris ? c'est très prenant, j'adore ♡ la relation avec juliet à l'air si bien en plus alala hâte de voir vos rps |
Louisa Amaury Membre | |
Emploi : sapeur-pompier Orientation & Situation : lesbienne + "célibataire" Astres : 1664 Avatar : haruka tenou (sailor uranus) ✩ sailor moon | Dim 27 Fév - 23:50 merci infiniment à vous trois pour votre accueil et vos compliments |
Loki Eyvel Membre | |
Emploi : Tatoueur, à la tête d'un Gang nommé Hokusai + gérant du Garage Orientation & Situation : soit disant hétéro et célibataire Astres : 1886 Avatar : Shuji Hanma (TR) | Lun 28 Fév - 14:25 "j'ai une soeur jumelle" j'm bien ce genre de détails ! Bienvenue (en retard mais pas grave ) sur Aste ! Ton personnage est chouette et ce don ... Si fabulous ! Hâte de la voir en RP ! Bon courage pour la validation !! |
Lux D'Arcy Fondatrice | |
Emploi : Gérant et Vigile du Universal Juice. Orientation & Situation : Homosexuel + Cœur réservé Astres : 1914 Avatar : William James Moriarty (Moriarty the Patriot) Gif : | Mar 1 Mar - 3:00 Félicitation, petite étoile ! En espérant que le forum saura te faire vivre un super retour ! Alors, niveau personnage, déjà. Quelle badass. Hâte de voir ce petit couple avec Jules ! Son don est intéressant ma foi, avec de bonnes limites et j'ai un faible pour les dons qui ne se contrôlent qu'à moitié. Son caractère est très bien ficelé, on cerne tout de suite la complexité du personnage mélangé à un petit grain de simplicité.
J'aime beaucoup ton style d'écriture ! L'histoire est super immersive, toute la partie du deuil, les petits détails rajoutés, tout le truc avec Myrtille, ... C'était un plaisir à lire, cruel mais à bien des parties relatable. Bref j'ai kiffé et je valide fort ! Hâte de voir ce qu'elle va devenir, la petite Lou ! Eh oui, on C'est tout ! En tout cas, tout ce qui est obligatoire. Si tu le souhaites, il y a pleins de choses à faire : la chronologie, le répertoire des rps, ton instagram, ... Mais pour tout ça, c'est si tu le veux. Ben oui, on est pas des gens méchants, on va pas te surcharger ! (C) PATR.ONUS |
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